Ca y est, nous sommes le 20 octobre ici en Australie au moment où je publie ce post. Cela fait tout juste un an que nous avons quitté la France, ce doux pays de notre enfance. Le premier sentiment que l’on a lorsque l’on pense à cette date anniversaire, c’est la satisfaction d’avoir réussi à voyager pendant une année complète. Cet objectif-là est atteint, même si les choses ne se sont pas toujours passées comme prévues.
Il y a un an, nous prenions l’avion avec comme première destination DubaÏ. Je peux m’en souvenir comme si c’était hier. La chaleur accablante, les hauts buildings, et nos phrases cultes prononcées en phonétique : « Burj Khalifa », « Dubaï mall » « El aboua al koutou blag » (Seul Esteban peut comprendre je pense ^-^). Dans une semaine, cela fera un an que nous avons pour la première fois mis le pied en Asie, avec un choc des cultures encore plus important. Malgré le bilan mitigé des trois semaines passées là-bas, j’ai de plus en plus envie d’y retourner. Quand je repense au coût de la vie en Thaïlande, et que je repense aux économies qu’on essayait déjà de faire à cette époque, ça me fait sourire. C’est là-bas qu’il faut claquer sa thune et vivre la grande vie ! Et si on pousse encore un peu, dans 5 semaines, cela fera un an que nous sommes en Australie.
Les plus attentifs d’entre vous auront remarqués que si nous approchons de nos un an en Australie, nous approchons également de la fin de notre visa. Cela veut-il dire que nous rentrons bientôt ?? Que nenni ! Le bon côté d’avoir passé autant de temps ici à Perth, à travailler, c’est qu’au-delà de trois mois de travail consécutifs dans un des domaines sélectionnés, nous avons la possibilité d’étendre notre visa ! Nous ne l’avons pas encore fais, mais ça ne devrait pas poser de problèmes.
Cet objectif atteint, nous avons prévu de reprendre la route début novembre. Nous avons dû repousser le départ à plusieurs reprises. Nous avions initialement prévu de quitter Perth début aout, puis nous avons repoussé, à fin aout, puis fin septembre, puis mi-octobre. Mais chaque fois, un imprévu nous à pousser à travailler davantage. Le dernier problème en date a un nom : Jean-Jacques a.k.a notre van. En Australie, les véhicules doivent être enregistrés pour avoir le droit de circuler. Cet enregistrement, que l’on appelle le Rego, s’étend de 6 moi ou un an. Nous avons réalisé que notre Rego arrivait à échéance le 20 novembre. Pour le prolonger, nous devons payer pour le durée souhaité, mais aussi passer un contrôle technique:/ et c’est là que ça se gâte. Le premier souci c’est que ce contrôle technique doit avoir lieu dans le New South Wales (Nouvelle Galles du Sud), la région de Sydney, dans la mesure où notre van est immatriculé là-bas. Je crois que nous nous trouvons actuellement le plus loin possible de Sydney, totalement à l’opposé Est-Ouest et nous n’avons aucune envie de traverser le pays rapidement juste pour ça. La solution est de faire immatriculer la voiture ici, en Western Australia (Australie Occidentale). Mais là aussi, il nous faut passer le contrôle technique. Et la mauvaise surprise c’est qu’il y a pas mal de choses à faire réparer avant que la voiture soit jugée conforme. Et de toute évidence il y en a pour plus de 2000$. Alors forcément, ça perturbe un peu notre budget déjà pas mal perturbé par mon derniers tiers d’impôt.
Pour le moment nous sommes donc dans l’attente, d’un devis du garagiste, ou d’une bonne occaz pour changer de van. J’espère que cette fois, ça ne repoussera pas le départ. D’autant que nous partons dans le Nord, en direction de Darwin. Et dans le nord, il y a deux saisons : la saison sèche et la saison humide. Et nous allons arriver au début de la saison humide. Les températures restent élevées mais le niveau d’humidité monte en flèche !
Enfin voilà quelques nouvelles, il était temps de dépoussiérer un peu ce blog. J’ai bon espoir que son activité reprenne très bientôt, alors restez à l’écoute !
Il y a un an, nous prenions l’avion avec comme première destination DubaÏ. Je peux m’en souvenir comme si c’était hier. La chaleur accablante, les hauts buildings, et nos phrases cultes prononcées en phonétique : « Burj Khalifa », « Dubaï mall » « El aboua al koutou blag » (Seul Esteban peut comprendre je pense ^-^). Dans une semaine, cela fera un an que nous avons pour la première fois mis le pied en Asie, avec un choc des cultures encore plus important. Malgré le bilan mitigé des trois semaines passées là-bas, j’ai de plus en plus envie d’y retourner. Quand je repense au coût de la vie en Thaïlande, et que je repense aux économies qu’on essayait déjà de faire à cette époque, ça me fait sourire. C’est là-bas qu’il faut claquer sa thune et vivre la grande vie ! Et si on pousse encore un peu, dans 5 semaines, cela fera un an que nous sommes en Australie.
Les plus attentifs d’entre vous auront remarqués que si nous approchons de nos un an en Australie, nous approchons également de la fin de notre visa. Cela veut-il dire que nous rentrons bientôt ?? Que nenni ! Le bon côté d’avoir passé autant de temps ici à Perth, à travailler, c’est qu’au-delà de trois mois de travail consécutifs dans un des domaines sélectionnés, nous avons la possibilité d’étendre notre visa ! Nous ne l’avons pas encore fais, mais ça ne devrait pas poser de problèmes.
Cet objectif atteint, nous avons prévu de reprendre la route début novembre. Nous avons dû repousser le départ à plusieurs reprises. Nous avions initialement prévu de quitter Perth début aout, puis nous avons repoussé, à fin aout, puis fin septembre, puis mi-octobre. Mais chaque fois, un imprévu nous à pousser à travailler davantage. Le dernier problème en date a un nom : Jean-Jacques a.k.a notre van. En Australie, les véhicules doivent être enregistrés pour avoir le droit de circuler. Cet enregistrement, que l’on appelle le Rego, s’étend de 6 moi ou un an. Nous avons réalisé que notre Rego arrivait à échéance le 20 novembre. Pour le prolonger, nous devons payer pour le durée souhaité, mais aussi passer un contrôle technique:/ et c’est là que ça se gâte. Le premier souci c’est que ce contrôle technique doit avoir lieu dans le New South Wales (Nouvelle Galles du Sud), la région de Sydney, dans la mesure où notre van est immatriculé là-bas. Je crois que nous nous trouvons actuellement le plus loin possible de Sydney, totalement à l’opposé Est-Ouest et nous n’avons aucune envie de traverser le pays rapidement juste pour ça. La solution est de faire immatriculer la voiture ici, en Western Australia (Australie Occidentale). Mais là aussi, il nous faut passer le contrôle technique. Et la mauvaise surprise c’est qu’il y a pas mal de choses à faire réparer avant que la voiture soit jugée conforme. Et de toute évidence il y en a pour plus de 2000$. Alors forcément, ça perturbe un peu notre budget déjà pas mal perturbé par mon derniers tiers d’impôt.
Pour le moment nous sommes donc dans l’attente, d’un devis du garagiste, ou d’une bonne occaz pour changer de van. J’espère que cette fois, ça ne repoussera pas le départ. D’autant que nous partons dans le Nord, en direction de Darwin. Et dans le nord, il y a deux saisons : la saison sèche et la saison humide. Et nous allons arriver au début de la saison humide. Les températures restent élevées mais le niveau d’humidité monte en flèche !
Enfin voilà quelques nouvelles, il était temps de dépoussiérer un peu ce blog. J’ai bon espoir que son activité reprenne très bientôt, alors restez à l’écoute !