Une journée de plus sous le soleil de Sydney. L'été bas son plein ici. Ciel bleu, soleil de plomb, 35°C. La belle vie.
Il y a quelques jours nous avons profité du soleil à la plage de Bondi. L’après-midi a été agréable, comme souvent à la plage, il faut bien le dire. Quoique, à la plage de Dunkerque… Passons… Nous avons pris le soleil quelques temps puis je suis allez me baigner un peu. Avec appréhension car les dernières fois que j’ai mis le pied dans l’océan, l’eau ne devait pas être très loin de se changer en glace. Cette fois, ô bonheur, elle est bonne ! Cette fois également, les vagues sont de la partie et les surfeurs s’en donnent à cœur joie (C’est bien la première fois que j’utilise cette expression, et je ne sais pas si ça s’écrit comme ça). En voyant des nageurs s’amuser dans les vagues, je me dis que ça peut être sympa. Je m’éloigne un petit peu de la plage, quand SOUDAIN… Une vague arrive face à moi, au moins 1m50 plus haute que moi. Elle s’écroule avant de m’atteindre, mais elle me fait penser que finalement, barboter dans 1m d’eau, c’est bien aussi.
Nous avons également passé un peu de temps avec nos voisins de la guest-house. Nous les avons accompagnés à une soirée karaoké. A 20h, nous quittons la maison, et les voisins, tous anglais, ont apparemment déjà bien bu. Il semble qu’ils consacrent une bonne partie de leur budget à l’alcool. C’est une autre façon de voyager. Une fois là-bas, nous laissons le micro aux anglophones. Il faut dire que les titres se suivent, et alors que tout le monde les reprend en cœur, il n’y en a aucun que l’on connait. Enfin, jusqu’à ce qu’ils diffusent « I will survive »…
Nous avons également participé à un barbecue, avec les habitants. Enfin un barbecue. C’est le premier que nous faisons ici, alors qu’on avait entendu partout que le barbecue, c’était la culture australienne, et qu’on trouverait des barbecues en libre-service partout sur les plages et dans les parcs. C’était l’opportunité de gouter de nouveau des brochettes de kangourou. C’est plutôt bon je dois l’avouer.
Le 26 janvier, nous sommes allés voir les festivités organisées pour la fête nationale. C’est le jour de la commémoration de la création de la première colonie britannique sur le continent Australien. Une chose est sure c’est que les australiens ne fêtent pas leur pays de la même façon que les français. Ici, tout le monde sort son attirail du bon petit patriote. Tee-shirt, casquette, stickers, tatouages… Tout ça à l’effigie du drapeau australien. Tout le monde est australien, et fier de l’être. Ça change de la France et ça fait plaisir à voir. De nombreuses animations sont organisées dans la ville. Le quartier de Darling Harbour, un des principaux centre touristique, est pris d’assaut par des milliers de personnes. Dans le Hyde Park, des châteaux gonflables, toboggans géant, et autre jeux auquel j’aurais adoré jouer étant plus jeune sont mis à disposition des enfants. Des émissions de télé sont tournées dans la rue, de même que des émissions de radio y sont enregistrées. Des stands sont installés un peu partout pour servir de la nourriture. C’est ici que nous avons mangé. J’ai choisi de prendre un gozleme au bœuf épicé. Le gozleme est une sorte de crêpe fourrée turque, très à la mode ici. Et quand ils disent épicés, ils ne rigolent pas… pfiou… Le long du parc s’étend une exposition de véhicules anciens dont certains sont vraiment de toute beauté. Dans certains quartiers, des scènes sont installées pour y organiser des concerts. Et dans le ciel, nous avons pu voir un avion de chasse. Ce n’était pas sans rappeler le salon du Bourget et ses shows aériens où le bruit est si énorme que ça vous en retourne le ventre. Un airbus A380 faisait également un passage à basse altitude au-dessus de l’opéra. Enfin, c’est là fête quoi…
Enfin hier, nous avons visité la tour de Sydney. Cette tour de 305m de haut, est une tour d’observation. A son sommet on peut trouver un étage d’observation, un café et un restaurant. Pour la visite nous retrouvons Julien, mon ancien camarade de licence, et un de ses amis. Après avoir attendu un peu que le soleil descende dans le ciel, pour profiter de la meilleure vue possible, nous avons pris la direction de la tour. Un petit coup d’ascenseur et hop ! Nous voilà en haut. Une foule de touriste asiatique s’agite déjà tout autour de l’étage. La vue est impressionnante. Une fois en haut on se rend compte à quel point Sydney s’est construite autour de l’eau. Au moment où le soleil décline de plus en plus, les gens commencent à chercher le meilleur spot photo. Désolé, mais c’est moi qui l’ait J. Je suis juste devant une vitre avec un gros sticker « Good photo point ». Le soleil descend doucement puis disparait presque subitement. Un coucher de soleil dans la deuxième tour la plus haute de l’hémisphère sud, ça n’a pas de prix… Je tente en vain de prendre une bonne photo, mais les reflets sur les vitres, la luminosité et la concurrence m’en empêchent. Il faut dire que les gens sont assez sans gêne. A un moment, un homme prenant une photo derrière moi posait son objectif sur mon épaule pendant qu’une chinoise se glissait sous mon bras pour prendre son cliché. Une fois la nuit tombé, les lumières de la ville s’allume, et c’est re-wahou…
Aujourd’hui je suis allé voir un des clients pour lesquelles je fais des sites web. Il m’a proposé son aide pour trouver notre van. Il m’a même proposé de nous hébergé si dans deux semaines, on est en galère. Les gens sont plutôt sympa ici.
Encore quelques jours de sédentarité avant de reprendre la vie de nomade. Pour mon prochain article j’espère pouvoir vous présenter notre van. On verra bien ;)
Il y a quelques jours nous avons profité du soleil à la plage de Bondi. L’après-midi a été agréable, comme souvent à la plage, il faut bien le dire. Quoique, à la plage de Dunkerque… Passons… Nous avons pris le soleil quelques temps puis je suis allez me baigner un peu. Avec appréhension car les dernières fois que j’ai mis le pied dans l’océan, l’eau ne devait pas être très loin de se changer en glace. Cette fois, ô bonheur, elle est bonne ! Cette fois également, les vagues sont de la partie et les surfeurs s’en donnent à cœur joie (C’est bien la première fois que j’utilise cette expression, et je ne sais pas si ça s’écrit comme ça). En voyant des nageurs s’amuser dans les vagues, je me dis que ça peut être sympa. Je m’éloigne un petit peu de la plage, quand SOUDAIN… Une vague arrive face à moi, au moins 1m50 plus haute que moi. Elle s’écroule avant de m’atteindre, mais elle me fait penser que finalement, barboter dans 1m d’eau, c’est bien aussi.
Nous avons également passé un peu de temps avec nos voisins de la guest-house. Nous les avons accompagnés à une soirée karaoké. A 20h, nous quittons la maison, et les voisins, tous anglais, ont apparemment déjà bien bu. Il semble qu’ils consacrent une bonne partie de leur budget à l’alcool. C’est une autre façon de voyager. Une fois là-bas, nous laissons le micro aux anglophones. Il faut dire que les titres se suivent, et alors que tout le monde les reprend en cœur, il n’y en a aucun que l’on connait. Enfin, jusqu’à ce qu’ils diffusent « I will survive »…
Nous avons également participé à un barbecue, avec les habitants. Enfin un barbecue. C’est le premier que nous faisons ici, alors qu’on avait entendu partout que le barbecue, c’était la culture australienne, et qu’on trouverait des barbecues en libre-service partout sur les plages et dans les parcs. C’était l’opportunité de gouter de nouveau des brochettes de kangourou. C’est plutôt bon je dois l’avouer.
Le 26 janvier, nous sommes allés voir les festivités organisées pour la fête nationale. C’est le jour de la commémoration de la création de la première colonie britannique sur le continent Australien. Une chose est sure c’est que les australiens ne fêtent pas leur pays de la même façon que les français. Ici, tout le monde sort son attirail du bon petit patriote. Tee-shirt, casquette, stickers, tatouages… Tout ça à l’effigie du drapeau australien. Tout le monde est australien, et fier de l’être. Ça change de la France et ça fait plaisir à voir. De nombreuses animations sont organisées dans la ville. Le quartier de Darling Harbour, un des principaux centre touristique, est pris d’assaut par des milliers de personnes. Dans le Hyde Park, des châteaux gonflables, toboggans géant, et autre jeux auquel j’aurais adoré jouer étant plus jeune sont mis à disposition des enfants. Des émissions de télé sont tournées dans la rue, de même que des émissions de radio y sont enregistrées. Des stands sont installés un peu partout pour servir de la nourriture. C’est ici que nous avons mangé. J’ai choisi de prendre un gozleme au bœuf épicé. Le gozleme est une sorte de crêpe fourrée turque, très à la mode ici. Et quand ils disent épicés, ils ne rigolent pas… pfiou… Le long du parc s’étend une exposition de véhicules anciens dont certains sont vraiment de toute beauté. Dans certains quartiers, des scènes sont installées pour y organiser des concerts. Et dans le ciel, nous avons pu voir un avion de chasse. Ce n’était pas sans rappeler le salon du Bourget et ses shows aériens où le bruit est si énorme que ça vous en retourne le ventre. Un airbus A380 faisait également un passage à basse altitude au-dessus de l’opéra. Enfin, c’est là fête quoi…
Enfin hier, nous avons visité la tour de Sydney. Cette tour de 305m de haut, est une tour d’observation. A son sommet on peut trouver un étage d’observation, un café et un restaurant. Pour la visite nous retrouvons Julien, mon ancien camarade de licence, et un de ses amis. Après avoir attendu un peu que le soleil descende dans le ciel, pour profiter de la meilleure vue possible, nous avons pris la direction de la tour. Un petit coup d’ascenseur et hop ! Nous voilà en haut. Une foule de touriste asiatique s’agite déjà tout autour de l’étage. La vue est impressionnante. Une fois en haut on se rend compte à quel point Sydney s’est construite autour de l’eau. Au moment où le soleil décline de plus en plus, les gens commencent à chercher le meilleur spot photo. Désolé, mais c’est moi qui l’ait J. Je suis juste devant une vitre avec un gros sticker « Good photo point ». Le soleil descend doucement puis disparait presque subitement. Un coucher de soleil dans la deuxième tour la plus haute de l’hémisphère sud, ça n’a pas de prix… Je tente en vain de prendre une bonne photo, mais les reflets sur les vitres, la luminosité et la concurrence m’en empêchent. Il faut dire que les gens sont assez sans gêne. A un moment, un homme prenant une photo derrière moi posait son objectif sur mon épaule pendant qu’une chinoise se glissait sous mon bras pour prendre son cliché. Une fois la nuit tombé, les lumières de la ville s’allume, et c’est re-wahou…
Aujourd’hui je suis allé voir un des clients pour lesquelles je fais des sites web. Il m’a proposé son aide pour trouver notre van. Il m’a même proposé de nous hébergé si dans deux semaines, on est en galère. Les gens sont plutôt sympa ici.
Encore quelques jours de sédentarité avant de reprendre la vie de nomade. Pour mon prochain article j’espère pouvoir vous présenter notre van. On verra bien ;)